Coaching familial

Ré-enchantez votre vie de famille !

Vous vous sentez démuni.eface aux comportements et émotions de vos enfants ?

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Vous avez l’impression que personne ne vous écoute, et encore moins vos enfants ?

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Vous vous sentez surmené.e et ne parvenez plus à souffler ?

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Trop souvent, vos soirées et week-ends sont synonymes de conflits ?

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Vous pensez que vos parents ne vous ont pas aimé ?
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Vous avez l’impression que vos enfants vous rejettent ?

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Vous n’avez plus confiance en vos compétences de parent ?

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Vous avez peur de reproduire un schéma familial ?
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Vous vous sentez démuni.e face aux comportement et émotions de vos enfants ?

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Vous avez le sentiment de tout porter ?
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Vous avez du mal à gérer la séparation et les répercussions sur votre vie de famille ?

On ne naît pas parent, on le devient...

La parentalité n’est pas un parcours tout rose et sans embûche, c’est un parcours qui nous amène à dévoiler une part de nous-mêmes, à repousser nos limites, à nous remettre en question, à chercher des pistes de solutions qui ne fonctionnent pas toujours. C’est une aventure qui implique le bonheur, la découverte, la reconnaissance, mais aussi les doutes, les interrogations, l’inquiétude.

Prendre le rôle de parent, c’est participer au développement de ses enfants, les aider à grandir et à passer les étapes de la vie, en leur donnant de l’amour, du temps, des espaces de découvertes, mais aussi des règles à respecter et des normes à intégrer.

C’est se dépasser chaque jour un peu plus, pas pour nous, mais pour nos enfants. C’est faire des tentatives, des erreurs, et des progrès aussi.

C’est une responsabilité à la fois enthousiasmante et effrayante, tant l’enjeu peut nous paraître grand. On peut parfois se sentir seul et démuni, en cherchant la limite entre « en faire trop » et « pas assez », en ayant le sentiment de ne pas y arriver.

Une approche et un regard extérieurs peuvent vous aider à considérer les choses autrement et à comprendre tant ce qui se passe en vous que dans la relation.

La famille… comme les branches d’un arbre nous grandissons tous dans des directions différentes, mais nous avons les mêmes racines

Je vous propose de devenir un parent plus serein pour :

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Rétablir l’harmonie familiale

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instaurer un climat de confiance
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communiquer de manière apaisée

afin que chaque membre de votre famille trouve sa place.

Il est possible de changer les choses !

Mon rôle est de vous permettre de prendre conscience et de mettre à jour ce qui se joue dans la situation actuelle, afin de vous amener à percevoir sous un autre angle le défi familial ou personnel qui vous semble aujourd’hui encore difficilement surmontable.

Guidé par une écoute et un questionnement bienveillants, vous pourrez faire le point sur vos ressentis et prendre du recul pour mettre du sens sur votre situation et trouver des solutions personnelles en accord avec vos valeurs et ce que vous voulez transmettre à vos enfants.

Je vous aide à passer du sentiment d’impuissance vers le développement de nouvelles stratégies, en vous reconnectant à votre confiance et à l’amour que vous vous portez.

Chaque famille est unique. Chaque accompagnement l'est aussi.

Le coaching familial est une aventure intime et singulière qui implique une démarche engagée dans laquelle vous êtes les principaux acteurs du processus.

Mon rôle de coach est de faciliter votre cheminement et de contribuer au changement que vous souhaitez atteindre.

Je vous propose un accompagnement relationnel et émotionnel qui peut se décliner selon différentes modalités, selon vos besoins et objectifs :

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des séances individuelles

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des séances familiales
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des séances pour le couple parental
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une combinaison de ces différents types de séances.

Dans le but de vous servir au mieux, je vous propose une séance découverte gratuite pour échanger sur votre situation et étudier ce qui serait le plus adapté pour vous. N’hésitez pas à me contacter, cela ne vous engage à rien, sinon à être entendu.

Mon histoire

Cela fait des années que je reste en état d’alerte intérieure 24h/24, 7j/7, liée corps et âme à ma grande fille qui sacrifie les siens sans ménagement entre lames de rasoirs, conduites addictives, disparitions, et tentatives de suicides.

Je me souviens encore avec une précision extrême de ce jour terrible où je pousse la porte de la chambre de l’hôpital où elle a été admise en soins intensifs pour avoir avalé une boîte de médicaments. Devant la pâleur de sa peau et la fragilité qui se dégage de tout son être, je ne parviens pas à entrer. Ma fille ressemble à une frêle poupée de tissu dans sa blouse d’hôpital trop grande pour elle. Elle est reliée à des machines qui surveillent ses constantes vitales, dans un bruit régulier et mécanique qui résonne en écho dans ma tête.

De longues minutes passent avant que je réussisse à m’approcher pour prendre sa main sous le drap, je veux sentir son contact parce que peut-être je ne pourrai plus le faire l’instant d’après…

Mon cœur saigne de douleur à cette idée mais c’est la triste réalité : elle n’a plus le goût de vivre.

Je reste là longtemps, calquant ma respiration sur la sienne, ultime connexion, car les années de douleur ont eu raison de notre communication.

Je me sens habitée d’un vide énorme devant mon impuissance de mère à réussir à contrôler l’incontrôlable.

Quelques jours après sa sortie, je publie une photo de nous deux, souriantes, sur les réseaux sociaux. C’est un événement si rare de la voir sourire et je suis si heureuse qu’elle soit en vie ! Une heure plus tard, ma mère m’appelle pour me dire que c’est totalement inadmissible de publier des photos de bonheur dans des moments pareils…

C’en est trop. Je sens mon intérieur qui se craquèle, j’étouffe à entendre les reproches de ma mère…

Les phrases entendues dans mon enfance, qui étaient assorties de paires de gifles, puis celles qui ont continué à l’âge adulte remontent : « tu n’es qu’une ingrate », « tu ne penses qu’à toi », « tu m’as toujours emmerdé la vie »…

J’ai l’impression de recevoir un coup de poignard, je me sens anéantie, et j’ai la certitude que les relations mère-fille sont synonymes de douleur et d’incompréhension.

Les années passent. J’essaie de faire le deuil de ma relation à ma mère grâce à des séances de psychothérapie qui m’aident à prendre de la distance, mais la douleur et le sentiment de ne pas être aimée sont toujours là, et je cherche toujours de nouvelles pistes de solutions pour résoudre cette profonde blessure.

C’est alors que je décide de m’inscrire à un séminaire de développement personnel, et ces 3 jours vont venir bouleverser mes certitudes et marquer un tournant dans ma vie.

Je vois pour la première fois du coaching en live, et ce devant 600 personnes. J’assiste stupéfaite à des transformations que je n’aurais jamais cru possibles : des personnes ayant vécu de lourds traumas, comme des séquestrations ou des viols, sortent de la séance transformées. Par le biais d’un questionnement ciblé et d’exercices neuro-émotionnels, le coach amène la personne à revisiter son souvenir pour le compléter et l’équilibrer.

Le résultat est incroyable, presque magique à mes yeux ! Chacune en ressort souriante, comme soulagée d’un poids énorme, le cœur rempli de gratitude et avec une immense envie d’avancer vers une vie où elle a repris son pouvoir… Je suis stupéfaite.

Le coach propose ensuite un exercice collectif pour dépasser un événement que nous avons vécu avec nos parents et qui nous empêche d’avancer, de nous épanouir, et que nous voulons dépasser. Je choisis de prendre comme problème à résoudre cette relation mère-fille qui me fait souffrir depuis plus de 30 ans, mais je n’y crois qu’à moitié car rien n’a marché jusqu’ici.

« Fermez les yeux et faîtes remonter un souvenir, où êtes-vous, que se passe-t-il ? » commence le coach sur un fond de musique au piano. « Que ressentez-vous ? Que vous dites-vous ? Respirez profondément, faîtes remonter ce souvenir en vous » Sa voix est calme et profonde, apaisante. Je me laisse porter par elle et le son du piano.

Les images de mon anniversaire remontent. J’ai 10 ans. Je suis dans la salle à manger à suivre ma mère qui s’affaire pour mettre la table et agencer l’espace pour les invités qui vont bientôt arriver. Je suis très heureuse de fêter mon anniversaire et impatiente que la famille arrive.

Entre deux aller-retours de ma mère entre la cuisine et la salle à manger, je lui demande ce que nous allons manger. « Du poisson » me répond-elle. Je sens mon cœur qui se serre : je n’aime pas le poisson.Je fais une grimace de dégoût qui n’échappe pas à ma mère, et avant même que je comprenne ce qui se passe je reçois une gifle qui fait voler mes lunettes à l’autre bout de la pièce. « Petite ingrate, tu n’es jamais contente ! » crie-t-elle en retournant à la cuisine.

Je reste là, le cœur brisé, avec un sentiment de tristesse et d’incompréhension énormes. Puis je pars dans ma chambre en pleurant, en me répétant que ma mère ne m’aime pas et ne m’aimera jamais.

Les larmes de mon enfance coulent sur mes joues alors que l’exercice continue :

« Respirez profondément. Pleurez, parlez, laissez-vous aller à exprimer ce qui vient en vous » continue le coach alors que la musique s’intensifie. « Comment, en cet instant, votre père ou votre mère vous ont aimé ? Comment, en étant ce qu’ils sont, ils ont contribué à faire de vous la personne que vous êtes ? Qu’avez-vous fait grâce à cet événement ? Quelles rencontres avez-vous fait ? Qu’est-ce qui n’aurait pas eu lieu si les choses avaient été différentes ? »

La musique s’intensifie encore, et les images de mon enfance, de mon adolescence, et de ma vie d’adulte remontent : je ne serais pas partie en Angleterre et je n’aurais pas rencontré celle que j’appelle « ma maman anglaise ».

Je n’aurais pas quitté si tôt le domicile familial et appris à dépasser les épreuves de la vie avec autant de rage. Je n’aurais pas eu autant à cœur d’offrir à mes enfants une relation basée sur la confiance et l’échange. Je n’aurais pas développé ma famille de cœur.

« Continuez. Trouver encore un exemple de ce qui ne se serait pas passé si vos parents avaient été différents… Encore un autre. Voyez combien vos parents étaient juste parfaits, comme ils étaient, pour faire de vous la personne que vous êtes »

Les larmes continuent de couler sur mes joues, mais ce sont soudainement des larmes de gratitude. Je sens mon cœur qui s’ouvre alors que je réalise que ma mère était juste celle dont j’avais besoin pour aller sur le chemin que j’ai parcouru, et que je ne voudrais surtout pas effacer tout cela et revenir en arrière.

« Remerciez vos parents pour ce qu’ils vous ont donné. En étant ce qu’ils étaient, avec leur histoire eux aussi, ils ont contribué à qui vous êtes. Remerciez-les pour ça »

Alors je lâche soudainement l’histoire que je me suis racontée depuis mon enfance : ma mère m’aime. Et m’a aimée. Avec ses forces et ses faiblesses.

Quelle révélation !

Je me sens soulagée d’un poids énorme alors que je retourne à mon hôtel. C’est comme si mon cœur et mon esprit s’étaient connectés et que soudain le sentiment de ne pas être aimée s’était envolé. Je me sens légère et sereine. Je n’en veux plus à ma mère.

Et tout naturellement, dans cet instant, j’ai à cœur que ma grande fille puisse elle aussi prendre conscience de la grandeur de mon amour, au-delà de nos difficultés relationnelles.

Je décide alors de me former en tant que coach pour accompagner les enfants devenus parents à dépasser l’histoire qu’ils se sont racontée sur leur passé, afin d’établir des relations harmonieuses au sein de leur famille.

Contactez-moi dès à présent !